Nos textes sur la montagne par les paliers 5 et 6 de Français

Le 22 juin dernier, l’école Saint-Charles est devenu l’école Pier-Giorgio Frassati. Celui-ci ayant été passionné par l’alpinisme et la montagne, les élèves des paliers 5 et 6 de Français ont rédigé des textes autour de ces deux thèmes. Voici leur production.

Aujourd’hui, c’est le 8 juin. Pascal regarde la télé et apprend que son meilleur ami a disparu dans la montagne. Il éteint la télé et met vite son costume de sauvetage. Pascal part jusqu’à la montagne pour chercher son ami. Il voit une personne et s’approche pour voir qui c’est. Il voit que c’est son ami. Ils se prennent dans les bras et il l’amène chez lui pour boire un thé.

Naouel

C’est l’histoire d’un enfant extraterrestre qui voulait savoir faire du ski car dans sa planète il faisait tous les sports à part du ski car sur sa planète, il n’y avait pas de montagnes. Il prit sa soucoupe volante et alla sur la Terre. Il alla chercher des skis mais il n’y en avait pas à sa taille. Alors, il en fabriqua et il alla sur les pistes. Là, il y avait toutes les autres personnes. Donc il décida de ne skier que la nuit.

Tyméo

La montagne me fait penser à plusieurs choses. Ça me fait penser à Pier-Giorgio Frassati, au calme, à la peur, au paysage, à la découverte, au danger et à l’alpinisme. Si j’étais une exploratrice des plus grandes montagnes, je pourrais être moi-même.

Tania

La famille Croodze partit en vacances, histoire de respirer l’air pur de la montagne, leur destination. Enfin là-bas, dans le chalet de leurs grands-parents,les enfants sortirent jouer. Deux d’entre eux allèrent jouer un peu plus loin. Plus tard, dans l’après-midi, les deux compagnons n’étaient toujours pas rentrés. La famille s’inquiéta. Nos deux explorateurs découvrirent un paysage de rêve avec énormément de végétation. Le soleil rayonnait. Les champs de fleurs de toutes les couleurs sentaient vraiment bon. C’était si beau et agréable pour les yeux. Le duo rentra au logement de leurs grands-parents. Sur le chemin, ils croisèrent un homme qui appela immédiatement leurs parents. Rassurés par cet appel, la famille alla faire du ski et laissa le père à la maison pour accueillir ses enfants.

Cyprien

L’histoire rocambolesque du vieux Mactoubousse

Le vieux Mactoubousse, explorateur de l’Himalaya était avec son petit-fils au coin du feu.

– Papi, comment as-tu perdu ton bras ?

– C’est une longue histoire. Tu es sûr que tu veux que je te la raconte ?

– Oui, oui.

« Ça a commencé en 1995, dans l’Himalaya. Lorsque je suis allé au sommet, j’ai accroché le drapeau français. Un très fort courant d’air m’a emporté est je suis tombé sur le bras. Je suis resté deux jours alors que je devais rentrer en Russie avec mon frère, le vieux Ritchie Langlois. Celui-ci commençait à s’inquiéter. Il appela les secours himalayens. Ils retrouvèrent mon corps et ils crurent que l’on m’avait enlevé en pleine montagne. Mon frère était plus qu’inquiet. Moi qui faisais le ramadan, il n’y avait même pas de dattes. Il n’y avait que de la neige à laisser fondre sous sa langue jusqu’au moment où arriva un hélicoptère de la gendarmerie. Je commençai à m’agiter. À ce moment, un homme fit descendre une corde épaisse, en fer avec une plaque au bout. L’homme me prit avec lui, me rentra dans l’hélicoptère et me ramena à l’hôpital. J’y suis resté quatre semaines ; en gros, un mois. Ils appelèrent en France en disant qu’ils m’avaient retrouvé. Mon frère vint me chercher. Arrivé en France, le président me remit devant le public la médaille du courage. Après cela, j’ai monté mon entreprise : Sarrchitecture. Il y a plus de 1 547 865 personnes qui y travaillent chaque année. Toi, mon petit-fils, quand tu seras grand, tu seras a la tête de mon entreprise.

– Merci papi.

– Allez, il faut aller dormir.

– Bonne nuit.

C’est ainsi que le vieux Mactoubousse et son petit fils on eu le courage de devenir alpinistes.

 Cheir-Oumar

Le voyage de Fares au Kilimandjaro

Un jour, un homme qui s’appelait Fares et qui habitait en France entendit que si il montait en haut du sommet du Kilimandjaro, il pourrait voir un génie. Fares se dit dans sa tête : “j’y vais tout de suite, voyons, j’ai envie d’être riche”. Tout de suite, il prépara ses affaires d’expédition. Le lendemain, il partit en Afrique. Le trajet dura douze heures. Il arriva enfin au pied du Kilimandjaro. Fares est stupéfait de la merveille qu’il regarde. Il tourna la tête et vit le génie. Il le regarda et dit : “je suis à ton service”.

Fares

Aujourd’hui, il fait beau. On voit les montagnes ua loin, quel beau paysage ! On sort les skis pour aller de l’autre côté de la montagne. On fait quatre bonhommes de neige. Le soir, le vent se lève. Il pleut, il y a de l’orage et il fait froid. Le lendemain, on va faire de la luge. Devant la maison de vacances, une avalanche est prévue, cette nuit, à une heure du matin, pour toute la journée. Demain, on va faire du ski et on prendra les téléskis. On va monter tout en haut de la montagne. On va aller dans la grotte du yéti, on n’a jamais vu le monstre.

Marie

Il était une fois, un jeune homme qui s’appelait Kévin et voulait réaliser son rêve le plus fou : chasser l’abominable homme des neiges. Depuis plusieurs jours, il marchait, puis, un jour, il tomba sur une grotte et celle-ci appartenait à l’abominable homme des neiges. L’abominable homme des neiges l’attrapa, l’enleva puis le mangea.

Jean-Baptiste